Je n’ai plus ni joie, ni certitude
Je meuble ma vie, appartement
Nu, de mes cartons de solitude
Ne pas te voir endort mes sens
Je perds en futilités ma vie
Comme une montre en panne, par absence
Arrêtée sur sept heures et demie
Enfoncé dans la gorge, un poème
M’empêche toujours de respirer
Il faut que tu me dises que tu m’aimes
De ta voix tiède, entre deux baisers
Ne laisse pas se taire le doux tictac
Qui arpentait l’espace entre nous
Cette mélodie aphrodisiaque
Qui battait entre nos rendez-vous
C'est fait je suis membre de votre fan club.
RépondreSupprimerVotre beauté m'hypnotise
Votre talent me fascine
Vos fragilités me bouleversent.
Vous êtes une vraie artiste, avec un univers que vous savez faire vivre et partager.
Gilles