À Paris je ne suis pas sage
Mes hommages au Baron Hausmann
J'emprunte mille et un passages
Dans mes habits de cellophane
Comme un bouquet dans un corsage
Je connais toutes vos arcanes
Sur le boulevard : racolage
Ses filles sont toutes courtisanes
Et les rues ont fardé leur âge
Choiseul a des lueurs diaphanes
Verdeau m'encourage au voyage
Et Jouffroy trompe le profane
Ah, Paris ! j'aime tes passages
Où les passions parfois je glane
Au gré de mon libertinage
Amusant de retrouver ici cette esquisse des passages décrite ailleurs !
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