Tournoi viril qui donne le vertige
Capoeira : valse du mâle fauve
A Salvador, où vit l’enfant prodige
Les peaux virent au brun sous un ciel mauve
Les litanies agacent la chaleur
Des femmes les attendent à l’ombre fraîche
Tandis qu’au soleil sont les hommes en sueur
Qui voltigent et combattent tête-bêche
Comme l’archet du berimbau est souple
Et sa corde sensible et leurs corps détendus
Et leur sauts légers au rythme s’accouple
Comme si soudain le temps s’était perdu
Adieu chagrin des luttes fratricides
Les corps s’ornent d’oranges chatoyants
Aux aisselles roulent les gouttelettes acides
Le Senhor do Bonfim noue ses rubans
Capoeira : valse du mâle fauve
A Salvador, où vit l’enfant prodige
Les peaux virent au brun sous un ciel mauve
Les litanies agacent la chaleur
Des femmes les attendent à l’ombre fraîche
Tandis qu’au soleil sont les hommes en sueur
Qui voltigent et combattent tête-bêche
Comme l’archet du berimbau est souple
Et sa corde sensible et leurs corps détendus
Et leur sauts légers au rythme s’accouple
Comme si soudain le temps s’était perdu
Adieu chagrin des luttes fratricides
Les corps s’ornent d’oranges chatoyants
Aux aisselles roulent les gouttelettes acides
Le Senhor do Bonfim noue ses rubans
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