Exigeant du plaisir sa dose
Tel est la lubie du Géant
Qui, non seulement prend ma prose
Mais veut mes rimes également
Lui, que m’offre-t-il en échange ?
Sa volonté impérieuse
Et son sourire un peu étrange
Sur sa lèvre délicieuse
Il offre ce qu’il peut donner
En réalité peu de choses
Son corps puissant abandonné
La grâce lente de ses poses
C’est sa vibration nonchalante
Dans nos ébats que je préfère
Qui me rend fébrile et brûlante
Affolée je me laisse faire
Sachant ce qu’il préfère en moi
Et la partie qui l’intéresse
Il m’excite et voilà pourquoi
Toujours je lui offre mes fesses
bonjour Aude, je suis tombé par hasard sur vos poèmes et vos riment me charment beaucoup, aussi m'ont elles inspirées ce qui suit: ça vaut ce que ça vaut mais j'y ai pris beaucoup de plaisir, prenez le comme un petit clin d’œil.
RépondreSupprimerA l'ode poétesse de mes fesses
Rose ou blanche selon l'assise
douloureuse parfois après la messe
Mon penchant des sylphes que je vise
Les miennes posées dans un hamac de coton
douces ou dures dans le tissu rêche
Se berce en cadence au son d'un mirliton
dans un suave rêve galbé de pêches
Je vous aime aude comme un vin de messe
Et si votre ramage se rapporte à vos fesses
depuis je vénère les miennes comme un bon crû
Gardiennes jumelles de mon trou du cul
...je vénère les miennes comme un bon crû
RépondreSupprimerGardiennes jumelles de mon trou du cul...
J'aurais aimé écrire cela ! Bravo mon (ou ma) cher(e) pour ces vers ! La poésie est un liant merveilleux...
je me désole tellement c'est toujours sur la fin que je me dépasse, enfin je me comprends!(je crois)
RépondreSupprimerd'ailleurs ces vers ne m'appartiennent plus et c'est dans vos verres que je les ai bu...philippe