J'ai soulevé ma jupe en montant l'escalier
Allumeuse odalisque, en montrant mon cul blanc
Une jambe et puis l'autre, lentement j'ai monté
En suivant sans parler, tu bandais, mon amant
Tu me suivais de près, ému et frissonnant
Ma chatte était grenade et déjà sirupeuse
Une jambe et puis l'autre, mes cuisses se frottant
Je montrais le chemin, nonchalante aguicheuse
Une jambe et puis l'autre, l'amour à mes talons
Tu m'as suivie ainsi dans ma chambre ombrageuse
Tu as glissé sans bruit ta main jusqu'à mon con
Et posé sur ma perle tes phalanges vibreuses
Dans le miroir j'ai vu une femme étrangère
Une jambe et puis l'autre écarter son compas
Et toi tu l'habillais de ta voix qui libère
D'adjectifs obscènes qui ne l'abaissaient pas
Une jambe et puis l'autre enfin je m'agenouille
Pour que tu puisse enfin d'amour me défoncer
Que ta tige luisante me visite et me fouille
Allumeuse odalisque, en montrant mon cul blanc
Une jambe et puis l'autre, lentement j'ai monté
En suivant sans parler, tu bandais, mon amant
Tu me suivais de près, ému et frissonnant
Ma chatte était grenade et déjà sirupeuse
Une jambe et puis l'autre, mes cuisses se frottant
Je montrais le chemin, nonchalante aguicheuse
Une jambe et puis l'autre, l'amour à mes talons
Tu m'as suivie ainsi dans ma chambre ombrageuse
Tu as glissé sans bruit ta main jusqu'à mon con
Et posé sur ma perle tes phalanges vibreuses
Dans le miroir j'ai vu une femme étrangère
Une jambe et puis l'autre écarter son compas
Et toi tu l'habillais de ta voix qui libère
D'adjectifs obscènes qui ne l'abaissaient pas
Une jambe et puis l'autre enfin je m'agenouille
Pour que tu puisse enfin d'amour me défoncer
Que ta tige luisante me visite et me fouille
En rythmant mes soupirs de cuisantes fessées