J'ai soulevé ma jupe en montant l'escalier
Allumeuse odalisque, en montrant mon cul blanc
Une jambe et puis l'autre, lentement j'ai monté
En suivant sans parler, tu bandais, mon amant
Tu me suivais de près, ému et frissonnant
Ma chatte était grenade et déjà sirupeuse
Une jambe et puis l'autre, mes cuisses se frottant
Je montrais le chemin, nonchalante aguicheuse
Une jambe et puis l'autre, l'amour à mes talons
Tu m'as suivie ainsi dans ma chambre ombrageuse
Tu as glissé sans bruit ta main jusqu'à mon con
Et posé sur ma perle tes phalanges vibreuses
Dans le miroir j'ai vu une femme étrangère
Une jambe et puis l'autre écarter son compas
Et toi tu l'habillais de ta voix qui libère
D'adjectifs obscènes qui ne l'abaissaient pas
Une jambe et puis l'autre enfin je m'agenouille
Pour que tu puisse enfin d'amour me défoncer
Que ta tige luisante me visite et me fouille
Allumeuse odalisque, en montrant mon cul blanc
Une jambe et puis l'autre, lentement j'ai monté
En suivant sans parler, tu bandais, mon amant
Tu me suivais de près, ému et frissonnant
Ma chatte était grenade et déjà sirupeuse
Une jambe et puis l'autre, mes cuisses se frottant
Je montrais le chemin, nonchalante aguicheuse
Une jambe et puis l'autre, l'amour à mes talons
Tu m'as suivie ainsi dans ma chambre ombrageuse
Tu as glissé sans bruit ta main jusqu'à mon con
Et posé sur ma perle tes phalanges vibreuses
Dans le miroir j'ai vu une femme étrangère
Une jambe et puis l'autre écarter son compas
Et toi tu l'habillais de ta voix qui libère
D'adjectifs obscènes qui ne l'abaissaient pas
Une jambe et puis l'autre enfin je m'agenouille
Pour que tu puisse enfin d'amour me défoncer
Que ta tige luisante me visite et me fouille
En rythmant mes soupirs de cuisantes fessées
Tu le trésor que je recherche depuis toujours
RépondreSupprimerTu sais déjà qui je suis...
Tu sélectionnes toujours d'aussi beaux culs ... Sinon le tient il se porte bien ... Bonne fin d'année bises
RépondreSupprimerMerci Anonyme. Je sais qui tu es.
RépondreSupprimerCher James merci, mon cul se porte à merveille, bises hivernales
Chère Marraine,
RépondreSupprimerComme j'ai été viré de la passion sans vraiment pouvoir me défendre et comme on ne se retrouve plus à d'autres lieux....
Que la Nouvelle Année 2012 sera pour toi encore plus passionnelle et aussi beaucoup plus passionnante que 2011 !
Ton fillieul
Mon cher filleul, je suis navrée de ton éviction, mais ravie de te retrouver sous mes lignes.
RépondreSupprimerMeilleurs vœux poétiques et sincères
Une superbe plume, j'aime beaucoup lire vos vers.
RépondreSupprimerAlors un coup de chapeau à votre poésie et un belle vie à votre "cul blanc".
laurent
Cher Laurent, merci d'être passé me lire. Revenez quand ça vous chante.
SupprimerMon cul blanc a la belle vie, soyez-en assuré.
Amitiés