Je voulais vous parler un peu
D’une partie de ces messieurs
Que l’on nomme le fruit du chêne
Que les âmes pusillanimes
Les purs esprits, s'ils me lisent
Et tous ceux qui me stigmatisent
Sentent la passion qui m’anime
Car pour ce bourgeon de douceur
Pour cette extrémité câline
Pour ce point au bout de la ligne
Je donnerai toutes les fleurs
Comme un toutou à sa maîtresse
Il me tend son petit museau
Relevé comme un chorizo
De ma main cherchant la caresse
Il aime tant qu’on le désire
Et qu’on l’admire et qu’on le flatte
Et qu’on l’enfonce dans nos chattes
Pour le noyer dans nos plaisirs
Ce fruit gorgé de vos parfums
Se laisse avaler sans faillir
Vous faisant presque défaillir
Quand son sirop jaillit enfin
bonsoir jolie Aude...
RépondreSupprimerj'avais déjà eu le plaisir de lire ce texte ailleurs, je le redécouvre donc ici, agrémenté d'une photographie, qui si j'étais femme pourrait me faire fondre, tant la musculature de cet homme est magnifiquement apparente...et cette main qui descend, qui laisse notre imaginaire travailler !
j'aurais sans doute l'occasion avec le temps de continuer ma ballade sur ton blog, j y retrouve en plus de tes textes toute ta gentillesse et ton humour.
bonne soirée.
pierre-yves (pyc)
Merci Pyc, ici sont mes poèmes agrémentés d'images, celles qu'on me refus ailleurs. Mais tu me connais, toujours il y a pour moi une issue de secours ! Bisou
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