Dans mes obsessions immobiles
O mon amour je m'aperçois
Que je rends nos deux vies fragiles
On ne peut pas penser qu'à soi
Comme des enfants insouciants
Qui jouent au jeu de cache-cache
Meurtris, fiévreux et impatients
On s'attrape et puis on se lâche
Je me dis : rien n'est éternel
Ni la passion ni le chagrin
Et mes humeurs troublées se mêlent
Gaie le soir, triste le matin
Qu'en est-il de toi qui te tais
Mais qui me frôle à chaque instant
Ta constance obstinée m'effraie
Comme le jumeau de mon tourment
Comment ne plus t'appartenir
Sans avoir le cœur ravagé
Repoussant un vide à venir
Que je ne peux envisager
C'est beau.
RépondreSupprimerQui jouent au jeu de cache-chache ou cache-cache ... C'est drôle j'ai employé ce mot dans un de mes derniers poème ...
RépondreSupprimerBref
Meilleurs voeux à toi Nat... Aude pour 2011 !
Alors l'histoire continue et le fil se détend se retend selon le temps ...
Bises
James Px.
Merci ELB…
RépondreSupprimerJames Px, bien vu la faute !! Le jeu de chatche-chatche c'est encore autre chose.
Meilleurs vœux à vous deux, bises
Bonjour Ode !
RépondreSupprimerJ'ai quitté lapassiondespoèmes... Depuis j'ai mon blog perso ! Je voulais juste te faire un petit coucou ! En te félicitant pour tes poèmes croustillants par la même occasion !...;-)
Roger